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PONT – AMISOS Drachme, 400-375 av J-C, TTB, lartdesgents.fr
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PONT – AMISOS Drachme, 400-375 av J-C, TTB, lartdesgents.fr

300,00 €
TTC expédition sous 3 à 4 jours ouvrés.

              Collection : Dr GAU                                                    

PONT – AMISOS

Drachme    c. 400-375 av J-C   TTB
Atelier : Amisos, Pont
AR       18 mm    5,54 g      R2      
Références : Sear 3633 var - BMC.-  - Aulock- - RG.1 var. p. 46  - SNG BM.1059-61 - SNG Cop.122.

Titulature avers : Anépigraphe.
Description avers : Tête d’Héra à gauche, drapée, coiffée d'un stéphanos tourelé avec boucles d'oreille et un collier. Grènetis circulaire.

Titulature revers : en exergue.dans le champ, sous les ailes.
Description revers : Chouette debout de face sur un bouclier, les ailes déployées ; dans le champ à droite, un glaive dans son fourreau, présenté verticalement.
Traduction revers : (Pirée / nom du Magistrat)

Commentaire
L’avers sur un flanc court : amputation de la tête et de sur notre exemplaire. (monnaie nettoyée, sinon Superbe)

Histoire
ROYAUME DU PONT – AMISOS   (Ve - IVe siècle av. J-C)
Placée au sud de la Mer Noire entre Sinope et Pharnace, Amisos (grec :Αμισός) fut fondée au VIIIe siècle avant J-C par les Milésiens et les Phocéens qui ont établi une relation de commerce florissant avec les anciens peuples de l'Anatolie.
La combinaison idéale de terres fertiles et d'eaux peu profondes de la ville a attiré de nombreux commerçants
Au milieu du siècle suivant, peuplée de colons athéniens, elle fut renommée Peiraeus (Pirée).
Le royaume fut rattaché en 546 à la satrapie d'Axaïna de l'Empire perse. Axaïna (« Indigo ») était le nom iranien de la mer Noire.
C'est Alexandre le Grand qui libéra la ville et lui rendit son statut démocratique.

Son monnayage perdura jusqu'au Ier siècle avant J.-C., connaissant une extension importante sous le règne de Mithridate VI du Pont (120-63 av J-C)
 Selon les mythes anciens, Amisos (actuellement Samsun) aurait été le pays des Amazones, vers le XIIe siècle av J-C.
Hérodote fournit une version historicisée de la légende des Amazones.
A la suite de violents combats avec les Égyptiens 2000 ans av. J.-C., des tribus scythes occupent la Cappadoce. Les guerriers scythes sont exterminés dans une embuscade et les femmes restées seules prennent les armes. Hérodote croit à tort que le nom amazone signifie « privée de mamelle », les Grecs pensant que c'était dans le but de tirer plus facilement à l’arc.
En fait, dans la langue caucasienne, ce nom signifierait par contre « ceux qui ne mangent pas de pain » (ce qui reporte aux sociétés nomades et donc non agricoles) ou « ceux qui vivent ensemble » ou pourrait faire allusion à une éventuelle « ceinture magique » portée par les Amazones.
Le géographe grec Strabon doutait de leur existence.
 Le cheval est inséparable des populations des steppes, ce qui est le cas des Scythes et des Sauromates (Scythes de l’est) renommés dans l’Antiquité comme éleveurs de chevaux et excellents archers. On peut supposer à la suite d'Hérodote que les Amazones sont les épouses des Scythes et des Sauromates qui, fait inconcevable pour un Grec, ont le droit de chevaucher et de guerroyer.
De là est né le mythe de farouches guerrières, élevées comme telles. Il a cependant historiquement existé des guerrières, notamment des femmes grecques sollicitées lorsque la patrie est en danger.
Les Amazones posséderaient une origine historique : elles correspondraient aux femmes guerrières des peuples scythes et sarmates.

Des fouilles archéologiques récentes, conduites par Jeannine Davis-Kimball à la frontière entre la Russie et le Kazakhstan, ont permis de mettre au jour des tombes de femmes guerrières, enterrées avec leurs armes entre 600 et 200 av. J.-C., probablement cavalières comme le révèle l'analyse ostéologique.
L'une des tombes était richement garnie de nombreux objets et bijoux féminins et également de 100 pointes de flèches.
Une enquête approfondie menée dans la même région a démontré l'existence d'une tradition vivace de la femme archer et cavalière émérite, leur arc étant de forme très caractéristique exactement identique à celui qui est représenté sur les céramiques antiques.
Des relations génétiques ont également été prouvées entre les restes humains trouvés dans les tombes et certaines familles Mongoles dont des filles naissent parfois blondes, caractéristique particulière des Amazones, ce qui est un fait absolument unique dans ces ethnies à la chevelure uniformément noire et qui tend à prouver un mélange entre des tribus mongoles et les restes de l'ethnie des Amazones dont l'origine exacte reste encore un mystère.

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PONT – AMISOS

Drachme    c. 400-375 av J-C   TTB
Atelier : Amisos, Pont
AR       18 mm    5,54 g      R2      
Références : Sear 3633 var - BMC.-  - Aulock- - RG.1 var. p. 46  - SNG BM.1059-61 - SNG Cop.122.

Titulature avers : Anépigraphe.
Description avers : Tête d’Héra à gauche, drapée, coiffée d'un stéphanos tourelé avec boucles d'oreille et un collier. Grènetis circulaire.

Titulature revers : en exergue.dans le champ, sous les ailes.
Description revers : Chouette debout de face sur un bouclier, les ailes déployées ; dans le champ à droite, un glaive dans son fourreau, présenté verticalement.
Traduction revers : (Pirée / nom du Magistrat)

Commentaire
L’avers sur un flanc court : amputation de la tête et de sur notre exemplaire. (monnaie nettoyée, sinon Superbe)

Histoire
ROYAUME DU PONT – AMISOS   (Ve - IVe siècle av. J-C)
Placée au sud de la Mer Noire entre Sinope et Pharnace, Amisos (grec :Αμισός) fut fondée au VIIIe siècle avant J-C par les Milésiens et les Phocéens qui ont établi une relation de commerce florissant avec les anciens peuples de l'Anatolie.
La combinaison idéale de terres fertiles et d'eaux peu profondes de la ville a attiré de nombreux commerçants
Au milieu du siècle suivant, peuplée de colons athéniens, elle fut renommée Peiraeus (Pirée).
Le royaume fut rattaché en 546 à la satrapie d'Axaïna de l'Empire perse. Axaïna (« Indigo ») était le nom iranien de la mer Noire.
C'est Alexandre le Grand qui libéra la ville et lui rendit son statut démocratique.

Son monnayage perdura jusqu'au Ier siècle avant J.-C., connaissant une extension importante sous le règne de Mithridate VI du Pont (120-63 av J-C)
 Selon les mythes anciens, Amisos (actuellement Samsun) aurait été le pays des Amazones, vers le XIIe siècle av J-C.
Hérodote fournit une version historicisée de la légende des Amazones.
A la suite de violents combats avec les Égyptiens 2000 ans av. J.-C., des tribus scythes occupent la Cappadoce. Les guerriers scythes sont exterminés dans une embuscade et les femmes restées seules prennent les armes. Hérodote croit à tort que le nom amazone signifie « privée de mamelle », les Grecs pensant que c'était dans le but de tirer plus facilement à l’arc.
En fait, dans la langue caucasienne, ce nom signifierait par contre « ceux qui ne mangent pas de pain » (ce qui reporte aux sociétés nomades et donc non agricoles) ou « ceux qui vivent ensemble » ou pourrait faire allusion à une éventuelle « ceinture magique » portée par les Amazones.
Le géographe grec Strabon doutait de leur existence.
 Le cheval est inséparable des populations des steppes, ce qui est le cas des Scythes et des Sauromates (Scythes de l’est) renommés dans l’Antiquité comme éleveurs de chevaux et excellents archers. On peut supposer à la suite d'Hérodote que les Amazones sont les épouses des Scythes et des Sauromates qui, fait inconcevable pour un Grec, ont le droit de chevaucher et de guerroyer.
De là est né le mythe de farouches guerrières, élevées comme telles. Il a cependant historiquement existé des guerrières, notamment des femmes grecques sollicitées lorsque la patrie est en danger.
Les Amazones posséderaient une origine historique : elles correspondraient aux femmes guerrières des peuples scythes et sarmates.

Des fouilles archéologiques récentes, conduites par Jeannine Davis-Kimball à la frontière entre la Russie et le Kazakhstan, ont permis de mettre au jour des tombes de femmes guerrières, enterrées avec leurs armes entre 600 et 200 av. J.-C., probablement cavalières comme le révèle l'analyse ostéologique.
L'une des tombes était richement garnie de nombreux objets et bijoux féminins et également de 100 pointes de flèches.
Une enquête approfondie menée dans la même région a démontré l'existence d'une tradition vivace de la femme archer et cavalière émérite, leur arc étant de forme très caractéristique exactement identique à celui qui est représenté sur les céramiques antiques.
Des relations génétiques ont également été prouvées entre les restes humains trouvés dans les tombes et certaines familles Mongoles dont des filles naissent parfois blondes, caractéristique particulière des Amazones, ce qui est un fait absolument unique dans ces ethnies à la chevelure uniformément noire et qui tend à prouver un mélange entre des tribus mongoles et les restes de l'ethnie des Amazones dont l'origine exacte reste encore un mystère.

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