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SYRIE – ROYAUME  SÉLEUCIDE – ANTIOCHUS  Ier SOTER Quart-unité, c. 277-272 av J-C, TTB+ , R2, lartdesgents.fr
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SYRIE – ROYAUME SÉLEUCIDE – ANTIOCHUS Ier SOTER Quart-unité, c. 277-272 av J-C, TTB+ , R2, lartdesgents.fr

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Collection du Dr GAU : 

SYRIE – ROYAUME  SÉLEUCIDE – ANTIOCHUS  Ier SOTER
Quart-unité           c. 277-272 av J-C         TTB+
Atelier : Sardes, Lydie
AE   Cuivre       13 mm       2,52 g         R2
Références : Sear 6883 - WSM.1369  - BMC.-  - CSE.-  - Spaer-  - SC.315 a  - GC.6883  - HGCS. 9/167

Titulature avers : Anépigraphe.
Description avers : Tête de face d’Athéna coiffée du casque attique à triple aigrette, grènetis circulaire.

Titulature revers :  BASILEWS // ANTIOCOU)    
Description revers : Niké drapée, debout à gauche, tenant une couronne de la main droite tendue au-dessus du nom du roi et une palme de la main gauche ; un monogramme dans un cercle dans  le champ à gauche.
Traduction revers : (le roi Antiochos)  

Commentaire
Exemplaire sur un petit flan. L’attribution à Sardes repose sur les travaux d’Edward Theodore Newell (1886–1941) un numismate américain, président de l’American Numismatic Society de 1916 à 1941. Une attribution alternative à Smyrne est possible

Histoire
SYRIE - ROYAUME SÉLEUCIDE - ANTIOCHUS Ier SOTER   (280-261 avant J.-C.)
Antiochos Ier Sôter (« le Sauveur »), en grec ancien Ἀντίoχoς ο Σωτήρ / Antiochos Sôter) est le deuxième souverain de la dynastie des Séleucides. Il règne de 281 à 261 et cherche en vain à maintenir l'intégrité territoriale de son empire.
Le déroulement du règne d'Antiochos est très obscur, faute de sources écrites. Il est le fils de Séleucos et d'Apama, fille d'un noble perse de haut rang, Spitaménès. Il est de ce fait le seul parmi les épigones à posséder des origines persanes.
 Présent à la bataille d'Ipsos, il est rapidement associé au pouvoir par son père qui le nomme vice-roi en -294 à charge pour lui de gouverner les satrapies orientales, dont principalement la Perside. [(Ancienne région d'Iran, l'actuel  Farsistan) (voir zone cerclée)]          
Il entretient donc avec son père de très bons rapports, au point que Séleucos divorce de son épouse, Stratonice, pour la céder à son fils qui en est éperdument amoureux. En Perse, il fonde ou refonde quelques cités comme Antioche de Margiane. Il mène par ailleurs une mission d'exploration navale en mer Caspienne. Il tente également de fortifier la frontière nord, vulnérable aux incursions des peuples nomades.
Après l'assassinat de son père en septembre 281 par le roi de Macédoine, Ptolémée Kéraunos, Antiochos hérite d'un immense empire. Une révolte en Syrie, probablement soutenue par Ptolémée II Philadelphe, l’oblige à lui céder la Cilicie orientale et la Phénicie.
Dans le même temps, il doit faire face en Asie mineure aux sécessions de la Bithynie, du Pont et de la Cappadoce qui s'érigent en royaumes indépendants.

Il arrête vers 275-274  l’invasion galate, peuple qu’il cantonne au nord-ouest de l’Asie mineure, la future Galatie. Ce succès justifie sûrement son épithète de « Sauveur ».
En 274, le souverain séleucide entre à nouveau en conflit avec l’Égypte ptolémaïque. L’affrontement avec Ptolémée II aboutit peut-être à une paix blanche en 270.

Pendant la deuxième partie de son règne, Antiochos semble s’être concentré sur les affaires intérieures. Il aurait mis à mort son fils aîné Séleucos, corégent depuis 279, coupable d’avoir conspiré contre lui. En 263, il est vaincu par le roi de Pergame Eumène Ier, qui se libère ainsi de tout lien de sujétion avec les Séleucides. Il serait mort au cours d’un combat livré contre les Pergamiens près d'Éphèse, deux ans plus tard.
En 261, son fils cadet Antiochos II lui succède. (261-246 av J-C)

 Sardes (en grec αἱ Σάρδεις, en ionien Σάρδιες, forme contractée Σάρδῑς) est une ancienne ville d’Asie Mineure, capitale de la Lydie, sur la rivière Pactole, dans la vallée de l’Hermos. Elle est détruite en 17 de notre ère par un tremblement de terre. Tibère la fait alors rebâtir, et Hadrien l’embellit.
En 1402, elle est totalement détruite par Tamerlan, un guerrier turco-mongol, qui se tailla un empire et fit de Samarcande sa capitale, en tuant entre 1 et 17 millions de personnes soit 5% de la population mondiale.

Les archéologues n’ont rien trouvé de toutes ces époques à Sardes.


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P1386-G0228