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CALABRE – TARENTE – TARAS  Diobole, 380-345 av J-C, SUP, lartdesgents.fr
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CALABRE – TARENTE – TARAS Diobole, 380-345 av J-C, SUP, lartdesgents.fr

180,00 €
TTC expédition sous 3 à 4 jours ouvrés.

              Collection : Dr GAU         

CALABRE – TARENTE – TARAS
Diobole       c. 380-345 av J-C
Atelier : Tarente, Calabre
AR     12 mm     0,97 g       R1
Références : Sear 351(var) - V.1296  - Côte- -  - ANS.1393  - MIAMG.1728 (R) (350€)

Titulature avers : Anépigraphe.
Description avers : Tête d'Athéna à gauche, coiffée du casque attique à cimier orné d’un Scylla (monstre marin).

Description revers : Héraclès de face, le genou droit à terre, appuyé sur sa massue, étranglant le lion de Némée de son bras gauche.

Commentaire
Il existe une multitude de représentation d’Héraclès sur ces monnaies.
    


Historique
CALABRE – TARENTE   (380-345 avant J.-C.)
Tarente, (grec ancien Τάρᾱς Tarās) fondée vers 706 av J-C par les Parthénopéens, était la seule colonie de Sparte.
D'après la mythologie, Taras était le fils de Poséidon et de la nymphe Satyra.
Il fut sauvé lors d'un naufrage par un dauphin qui le déposa près de la future cité d’où le nom de la ville : Taras.

Le site est avantageux, avec un port naturel et sa position dominante sur les plaines de l'arrière-pays. Par contre, celui-ci est peuplé par des communautés denses et hostiles, empêchant l'extension du domaine agricole et des luttes incessantes.
La colonie élève des chevaux. La cavalerie légère tarentine devient célèbre à l'époque classique. Sa vitesse et son adresse se combinent avec la phalange hoplitique en permettant de défendre ses flancs. Les Tarentins sont très recherchés. Au IIIe siècle av J-C, notamment chez les Séleucides, « Tarentin » devient un terme générique désignant des cavaliers légers.


 A partir de 380 av J-C, les destinées de Tarente se retrouvèrent entre les mains d'Archytas de Tarente (435-347 av J.-C.), philosophe pythagoricien, ami de Platon, mathématicien, astronome, homme politique et général qui fut placé sept fois à la tête de sa cité.
On le donne pour l'inventeur de la vis, de la poulie, de la crécelle et du cerf-volant.
Horace lui consacra une ode.

Tarente atteint son apogée au IVe siècle av J-C et exerce alors une véritable hégémonie sur la Grande-Grèce, aussi bien sur le plan politique, qu'économique et culturel.
Sa situation maritime favorable contribue à faire de la cité un centre important de commerce maritime et de pêche.
Tarente, à cette même époque, voit les plus grands pythagoriciens : Philolaos, Lysis, Archytas, Eurytos.

Malgré l'intervention de Pyrrhus, Rome impose sa protection à Tarente et aux cités grecques voisines en 272 av. J.-C.
En 212 av. J.-C., Tarente passe sous l’autorité d’Hannibal, ce qui lui vaut, une fois reprise, d’être mise à sac par les troupes de Fabius Cunctator.
Les Romains en font la conquête définitive en 209 av. J.-C., mais la paix avec la ville n'est faite qu'à partir de 123 av J-C.
Après la conquête romaine, son importance décroît, les Romains lui préférant Brindisi.
 

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CALABRE – TARENTE – TARAS
Diobole       c. 380-345 av J-C
Atelier : Tarente, Calabre
AR     12 mm     0,97 g       R1
Références : Sear 351(var) - V.1296  - Côte- -  - ANS.1393  - MIAMG.1728 (R) (350€)

Titulature avers : Anépigraphe.
Description avers : Tête d'Athéna à gauche, coiffée du casque attique à cimier orné d’un Scylla (monstre marin).

Description revers : Héraclès de face, le genou droit à terre, appuyé sur sa massue, étranglant le lion de Némée de son bras gauche.

Commentaire
Il existe une multitude de représentation d’Héraclès sur ces monnaies.
    


Historique
CALABRE – TARENTE   (380-345 avant J.-C.)
Tarente, (grec ancien Τάρᾱς Tarās) fondée vers 706 av J-C par les Parthénopéens, était la seule colonie de Sparte.
D'après la mythologie, Taras était le fils de Poséidon et de la nymphe Satyra.
Il fut sauvé lors d'un naufrage par un dauphin qui le déposa près de la future cité d’où le nom de la ville : Taras.

Le site est avantageux, avec un port naturel et sa position dominante sur les plaines de l'arrière-pays. Par contre, celui-ci est peuplé par des communautés denses et hostiles, empêchant l'extension du domaine agricole et des luttes incessantes.
La colonie élève des chevaux. La cavalerie légère tarentine devient célèbre à l'époque classique. Sa vitesse et son adresse se combinent avec la phalange hoplitique en permettant de défendre ses flancs. Les Tarentins sont très recherchés. Au IIIe siècle av J-C, notamment chez les Séleucides, « Tarentin » devient un terme générique désignant des cavaliers légers.


 A partir de 380 av J-C, les destinées de Tarente se retrouvèrent entre les mains d'Archytas de Tarente (435-347 av J.-C.), philosophe pythagoricien, ami de Platon, mathématicien, astronome, homme politique et général qui fut placé sept fois à la tête de sa cité.
On le donne pour l'inventeur de la vis, de la poulie, de la crécelle et du cerf-volant.
Horace lui consacra une ode.

Tarente atteint son apogée au IVe siècle av J-C et exerce alors une véritable hégémonie sur la Grande-Grèce, aussi bien sur le plan politique, qu'économique et culturel.
Sa situation maritime favorable contribue à faire de la cité un centre important de commerce maritime et de pêche.
Tarente, à cette même époque, voit les plus grands pythagoriciens : Philolaos, Lysis, Archytas, Eurytos.

Malgré l'intervention de Pyrrhus, Rome impose sa protection à Tarente et aux cités grecques voisines en 272 av. J.-C.
En 212 av. J.-C., Tarente passe sous l’autorité d’Hannibal, ce qui lui vaut, une fois reprise, d’être mise à sac par les troupes de Fabius Cunctator.
Les Romains en font la conquête définitive en 209 av. J.-C., mais la paix avec la ville n'est faite qu'à partir de 123 av J-C.
Après la conquête romaine, son importance décroît, les Romains lui préférant Brindisi.
 

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P1386-G018